samedi 3 octobre 2015

Colloque : quelle dissuasion en l’absence d’arme nucléaire ? 26 octobre - Paris

 lundi 26 octobre 2015

au Palais Bourbon – Salle Colbert
126 rue de l’Université – 75007 Paris

sous le parrainage de Guy-Michel CHAUVEAU,
député de la Sarthe, maire de La Flèche


Programme

9h : Accueil : Guy-Michel CHAUVEAU, député de la Sarthe, membre de la Commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale.

9h15 : Ouverture du colloque : Général Henri BENTEGEAT, ancien chef d’état-major des armées.
9h45 : Présentation de la problématique : Pierre PASCALLON, professeur émérite des universités, président de Participation et Progrès.


10h – 13h : La nécessité d’une dissuasion
Président de séance : Patrice LEOPOLD, universitaire, avocat.

Après la disparition des hégémonies et des blocs, quelle défense et quelle dissuasion dans un monde multipolaire ? colonel (er) Alain CORVEZ, conseiller en stratégie internationale.
Quelle politique de dissuasion et de désarmement nucléaire pour la France ? Pascal BONIFACE, directeur de l’Institut des relations internationales et stratégiques.
Réflexions sur l’avenir du nucléaire militaire, amiral (2S) Alain COLDEFY, directeur de la Revue Défense Nationale.
L’arme nucléaire, unique moyen de dissuasion pour la France ? Eric POURCEL, secrétaire général de Participation et Progrès.
Pour une nouvelle politique de Défense, général d’armée aérienne (2S) Bernard NORLAIN, ancien directeur de l’IHEDN.
Pourquoi la question posée peut susciter de faux débats ? Paul QUILES, ancien ministre de la Défense, ancien président de la Commission de Défense de l’Assemblée nationale, président de l’association «ALB, « Arrêtez la bombe ».

13h – 14h 45 : déjeuner au restaurant de l’Assemblée nationale

14h45 – 17h45 : Les options possibles
Président de séance : Yves BOYER, directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique,
professeur à l’Ecole polytechnique.



L’incertitude en matière de stratégie militaire, Gonzague MARTIN (conseiller en stratégie, chercheur au Laboratoire  innovation en systèmes d’action (LIRSA, Conservatoire des arts et métiers, doctorant). 
Défense antimissile, armes à énergie dirigée, un substitut ? Philippe MIGAULT, directeur de recherche à l’IRIS, membre du CEMI-EHESS.
La dissuasion conventionnelle, concept et limite, Bruno TERTRAIS, maître de recherche, Fondation pour la recherche stratégique.
Forces conventionnelles et dissuasion : tendances récentes et essai de prospective, Corentin BRUSTLEIN, coordonnateur du Centre des études de sécurité de l’Institut français des relations internationales.
La crédibilité d’une dissuasion conventionnelle, général (2S) Jean-Paul PERRUCHE, président d’Eurodefense-France, ancien DG EMUE.
Bushisme, prolifération et terrorisme : le meilleur moyen de ne pas avoir à dissuader n’est-il pas de cesser l’interventionnisme militaire tous azimuts ? Pierre CONESA, consultant.
Le facteur humain, composante de la dissuasion, général d’armée (2S) Christian QUESNOT, ancien chef d’état-major particulier des présidents Chirac et Mitterrand.

17h 45 : Conclusion par le général (2S) Henri PARIS, président de DÉMOCRATIES.


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